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EN BREF

  • Défis environnementaux majeurs auxquels les entreprises font face
  • Initiative de l’Institut de Recherche et de Développement (IRD) pour évaluer et réduire son empreinte carbone
  • Création d’un bilan carbone pour améliorer les pratiques environnementales
  • Rencontres organisées les 2 et 3 juillet 2024 pour sensibiliser le personnel
  • Actions actuellement mises en œuvre, telles que le sensible personnel et la réduction de consommation
  • Suivi des émissions de gaz à effet de serre (GES) et lancement de plans d’action
  • Collaboration avec les équipes de recherche pour des pratiques d’amélioration continues
  • Objectif de durabilité et de protection de l’environnement à long terme

Aujourd’hui, l’Institut de recherche pour le développement (IRD) au Sénégal met en œuvre un projet ambitieux visant à évaluer et réduire son empreinte carbone à travers la mission qualité santé sécurité et environnement (MQSSE). Ce projet inclut l’élaboration d’un bilan carbone, qui permet de mesurer les émissions de gaz à effet de serre (GES) liées à ses activités. Des actions concrètes sont mises en place pour améliorer les pratiques environnementales, telles que la sensibilisation du personnel, l’installation de bacs de recyclage, et la mise en œuvre de systèmes de compostage et de plantation d’arbres. Ce processus est accompagné d’un suivi continu des initiatives, témoignant de l’engagement de l’IRD vers des pratiques durables, tout en contribuant à la protection de l’environnement au Sénégal.

L’Institut de recherche et de développement (IRD) au Sénégal a pris des mesures significatives pour réduire son impact environnemental à travers un projet ambitieux d’évaluation carbone et de suivi écologique. Ce projet vise à mesurer son empreinte carbone et à mettre en œuvre des pratiques durables au sein de ses activités. En adoptant des stratégies efficaces et en sensibilisant son personnel, l’IRD s’engage résolument pour un avenir plus respectueux de l’environnement, alliant recherche scientifique et actions concrètes sur le terrain.

Contexte environnemental et nécessité d’un engagement

Le monde entier est confronté à des défis environnementaux de plus en plus pressants. Que ce soit à travers le changement climatique, la déforestation ou la pollution de l’air et des eaux, chaque secteur, y compris la recherche, doit faire face à son rôle dans la dégradation de l’environnement. C’est dans ce cadre que l’IRD, conscient de sa responsabilité sociale et écologique, a voulu évaluer son impact et mettre en place une stratégie durable.

La nécessité d’une telle initiative est d’autant plus évidente compte tenu des objectifs globaux de développement durable promulgués par l’Organisation des Nations Unies. Ceux-ci encouragent toutes les organisations à adopter des pratiques qui minimisent les impacts environnementaux néfastes et maximisent la durabilité. En conséquence, l’IRD s’est engagé à réaliser un bilan carbone exhaustif qui permet de comprendre pleinement ses émissions de gaz à effet de serre (GES).

La mission qualité santé sécurité et environnement (MQSSE)

Dans le cadre de sa démarche d’amélioration continue, l’IRD au Sénégal a mis en place la mission qualité santé sécurité et environnement (MQSSE). Cette initiative vise à coordonner l’ensemble des efforts environnementaux au sein de l’institution. L’objectif est de proposer des actions concrètes et mesurables pour améliorer les pratiques environnementales dans toutes les facettes des activités de recherche.

La MQSSE joue un rôle crucial dans la sensibilisation des équipes et dans l’intégration de l’évaluation de l’impact environnemental dans le processus de prise de décision. C’est grâce à cette mission que l’IRD entend encourager non seulement le respect des obligations légales en matière d’environnement, mais aussi instiller des valeurs de durabilité dans le quotidien de ses activités.

Le projet de bilan carbone : Objectifs et étapes

Au cœur de l’action de l’IRD se trouve le projet de bilan carbone, dont l’objectif principal est de quantifier les émissions de GES induites par ses activités. Pour ce faire, plusieurs étapes fondamentales ont été élaborées et mises en œuvre.

Sensibilisation du personnel

La première étape consiste à sensibiliser le personnel à l’importance de la réduction de l’empreinte carbone. Des formations et des réunions régulières ont été programmées pour partager des informations sur les impacts environnementaux des activités de recherche.

Définition du champ d’étude

Ensuite, il est essentiel de définir le champ d’étude. Cela nécessite d’identifier toutes les sources d’émissions de GES, notamment à travers l’analyse des bâtiments, des déplacements et des achats. L’utilisation d’une période de référence est également fondamentale pour comparer et évaluer les progrès réalisés dans le temps.

Collecte des données

Une fois que le champ d’étude a été défini, la collecte de données s’avère cruciale. Cela implique de rassembler des informations précises sur la consommation d’énergie, les types de déchets générés, les achats effectués et les déplacements réalisés. Les factures, les relevés de compteurs et les registres de fichiers sont autant de sources qui alimentent ce processus.

Analyse et exploitation des résultats

Après la collecte, les données devront être exploitables. L’accompagnement de facteurs d’émissions, adaptés aux spécificités locales, permet de convertir ces données en équivalent CO2, facilitant ainsi l’analyse des postes d’émissions.

Élaboration d’un plan d’action

Enfin, sur la base des résultats obtenus, un plan d’action sera élaboré pour la réduction des émissions de GES. Cela inclut non seulement la définition de mesures concrètes mais également la mise en place d’indicateurs de suivi pour évaluer l’évolution des mesures adoptées.

Les initiatives de pratiques durables

Au-delà de la simple évaluation carbone, l’IRD a mis en œuvre diverses initiatives concrètes pour favoriser des pratiques plus durables au sein de ses centres de recherche. Ces initiatives témoignent d’un engagement réel vers un développement durable.

Sensibilisation à la consommation des ressources

La sensibilisation du personnel à la rationalisation de la consommation d’eau et d’électricité est un aspect déjà intégré dans les pratiques de l’IRD. Des campagnes de communication interne renforcent l’importance d’économiser ces ressources vitales et assurent un usage responsable.

Gestion des déchets

Des bacs de ramassage ont été installés sur tous les sites pour le tri des déchets comme les cartouches usagées et les piles. Cela témoigne d’un sérieux engagement envers une gestion des déchets appropriée et respectueuse de l’environnement.

Réduction de la consommation de papier

Dans un effort continu visant à réduire l’utilisation du papier, l’IRD a mis en place des systèmes d’imprimantes centralisées et a configuré les paramètres par défaut pour les impressions en recto-verso. Cette initiative contribue à une diminution significative de la consommation de papier et à une gestion des ressources plus optimale.

Initiatives écologiques sur site

Le compostage des déchets organiques et la plantation d’arbres fruitiers sur les sites de l’IRD sont des gestes concrets en faveur de l’écologie. Le site de Hann a vu la mise en place d’un compostage pour gérer les déchets verts et favoriser la biodiversité, tandis que la plantation d’arbres fruitiers participe à l’embellissement du paysage et à la régénération des sols.

Suivi et évaluation des actions environnementales

Une fois les actions mises en place, il est essentiel de suivre leur impact. L’IRD a donc prévu un suivi régulier afin d’évaluer l’efficacité des mesures adoptées.

Ainsi, les équipes s’engagent à surveiller l’évolution des pratiques de compostage sur le site de Hann et à collaborer avec les équipes de recherche sur des projets visant à promouvoir une gestion durable des ressources forestières et litières au centre de Bel-Air.

Cette démarche d’évaluation permet également de quantifier les économies réalisées en matière de consommation d’eau, d’énergie et de papier. Cela renforce l’approche système de retour d’expérience qui permet d’ajuster et de faire évoluer les actions en fonction des résultats obtenus.

Perspectives d’avenir et réplicabilité du projet

Le projet de bilan carbone et de suivi des actions environnementales constitue une première étape significative vers un avenir durable. D’ici la fin de l’année 2024, il est prévu que les résultats des évaluations soient présentés au personnel. Cela permettra de lancer un plan d’action pour améliorer le bilan carbone de l’IRD.

Ces actions, si elles sont maintenues et étendues, peuvent servir de modèle pour d’autres implantations de l’IRD dans la région ouest-africaine. Les pratiques adoptées pourraient être reproduites dans d’autres contextes, assurant ainsi un impact positif sur l’échelle régionale.

Enfin, à travers ces initiatives, l’IRD au Sénégal engage des réflexions profondes sur les enjeux écologiques tout en valorisant les actions visant à protéger notre planète. Par des moyens innovants et une approche basée sur la science, l’institut montre que la durabilité est à la portée de tous et que chaque action compte dans la lutte pour un avenir plus respectueux de l’environnement.

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Aujourd’hui, l’environnement fait face à des défis sans précédent, et l’Institut de Recherche pour le Développement (IRD) au Sénégal a décidé de prendre des mesures concrètes pour contribuer à la solution. Dans cette optique, l’Institut a mis en place un projet ambitieux d’évaluation carbone et de suivi des initiatives écologiques, démontrant ainsi son engagement envers un avenir durable.

Les premières étapes de ce projet ont consisté à établir un bilan carbone qui permettra de mesurer les émissions de gaz à effet de serre (GES) engendrées par les différentes activités de l’IRD. Cette évaluation est essentielle pour identifier les sources d’émissions et définir des actions spécifiques pour les réduire. Les équipes impliquées ont été formées et sensibilisées, mettant l’accent sur l’importance de ces mesures pour la protection de notre environnement.

Au-delà du bilan carbone, l’IRD a également instauré des pratiques durables au sein de ses installations. Parmi les actions mises en œuvre, la sensibilisation du personnel sur la gestion des ressources comme l’eau et l’électricité a été une priorité. Des initiatives telles que l’installation de bacs de tri pour le recyclage des déchets et la réduction de l’utilisation de papier montrent bien l’engagement de l’institut à adopter un comportement écoresponsable.

Le succès de ces initiatives repose également sur le suivi régulier des actions mises en place. Des mesures de suivi écologique sont instaurées pour évaluer l’évolution des pratiques et leur impact sur l’environnement. L’institut s’efforce de collaborer avec des équipes de recherche pour développer des méthodes d’évaluation durables et innovantes.

Les résultats prometteurs de ces efforts encouragent l’institut à poursuivre ses recherches et à élargir ses initiatives. En intégrant des principes de développement durable au cœur de ses activités, l’IRD au Sénégal aspire à devenir un modèle d’engagement en faveur de la protection écologique et de la sustainability, non seulement au Sénégal, mais au-delà des frontières.